Descente de l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande

Descente de l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande

Vidéo en lien : Traversée de la Nouvelle-Zélande.Géothermie,source d’eau chaude,dégustation de vin et ville nordique et Évasion au cap Sud de l’île du Nord de la Nouvelle-Zélande

On descend vers le Sud

Nous voilà en 2023, nous quittons nos amis Nawaks et reprenons la route direction le sud. Nos plans sont quelque peu changés suite à une forte dépression qui arrive. Nous filons rapidement dans les sud là où la météo semble un peu meilleure. Voilà un point positif de la vie sur terre en camping-car : cette fois nous allons plus vite que les dépressions et nous pouvons les éviter.

Après avoir testé 2 campings gratuits, nous nous sommes dit que nous allions les privilégier afin de faire perdurer le voyage au maximum et compenser le coût lié aux visites des parcs qui sont assez onéreux dans ce pays. Un budget qui était très bas dans notre voyage en voilier. Nous nous arrêtons pour la nuit à Waipa District, un grand campsite en bord de rivière. Il y a assez de place pour tout le monde. En pleine journée, l’endroit est très prisé par les locaux et les scooters, bouées tractées et bateaux moteurs font un vacarme d’enfer. A 20 minutes, nous irons voir le lendemain Sanctuary Mountain Mangatautari.

Un sanctuaire pour les animaux, notamment pour les oiseaux avec une barrière de 47 km. Nous y verrons 4-5 espèces différentes. Un sanctuaire qui mériterait de prendre un guide. Nous ne l’avons pas fait de peur de ne pas comprendre toutes les explications en anglais.

Pour la nuit, nous avons trouvé un super campsite gratuit, Dunham Point Réserve.

Un lieu incroyable en bord de rivière. Plancha à disposition, toilette, poubelle, tri et même une douche chaude. Le must. Nous y resterons qu’une nuit car sa situation fait qu’il n’y a malheureusement pas grand-chose à faire dans les environs.

Au vu du temps qui se gâte, nous cherchons des activités autres que les randonnées. Première activité : rafting sur la rivière Tangariro. Un petit cadeau du père Noël ! Merci. Un moment super sympa en famille. Les enfants ont adoré cette découverte.

Taupo

Nous remontons sur Taupo. L’ancienne propriétaire de Momo habite ici. A défaut de la revoir, nous dormirons dans l’allée de sa maison. Thanks Barbara ! We will come back in a fiew months.

De sa maison, nous partirons à pied dans le centre ville, un lieu très actif avec de jolies boutiques. Nous n’aurons pas vu d’endroit à part Auckland avec autant de magasins. Un peu plus loin nous rejoindrons Huka Trail. Un chemin de randonnée qui longe la rivière Waikoto nous mènera jusqu’aux superbes Huka Falls.

Une cascade de 9 mètres mais avec un débit de 200 000 litres d’eau par seconde. Elle pourrait remplir en 1 minute 5 bassins olympiques. Une vue impressionnante, une eau d’un magnifique bleu et blanc malgré le temps maussade. Le lieu est très prisé et nous comprenons pourquoi. Que c’est beau !

Pour la petite histoire, Huka veut dire mousse en langue Maori. Un mot tout à fait en lien avec ce que nous avons sous les yeux.

C’est ce que j’apprécie dans la langage Maori. Chaque mot est en lien direct avec ce que nous voyons ou ce que ressentait la personne. C’est d’une logique pure. J’aime les choses logiques ! Sur le chemin de retour, nous nous arrêtons à Otumuheke Spa Park. Un lieu aménagé et gratuit au bord de la rivière. Un petit affluent se jette dans la grande riviere Waikoto. Elle a la particularité d’être une source d’eau chaude.

Nous nous baignerons donc dedans dans une eau avoisinant peut-être les 30 degrés. Un moment très agréable que les enfants ont apprécié. Une détente pour nos muscles après cet après-midi de marche. Nous retrouvons 30 minutes plus tard Momo, fatigué mais heureux de cette journée, certes grises mais peu importe, nous étions juste bien dans ce moment présent.

Un peu plus en aval, nous découvrons le lendemain le barrage hydroélectrique de Aratiatia. L’ouverture du barrage a lieu 4 fois par jour en été (10h, 12h, 14h et 16h) à des fins touristiques.

Il est vrai qu’il est impressionnant de voir ce flux d’eau arriver dans le canyon derrière le barrage, malgré un remplissage assez long.

L’eau met bien 5 minutes à remplir les premiers bassins naturels, pour arriver à un débit important. Nous continuerons cette deuxième journée à Taupo avec le «Craters of the moon».

Il faut savoir que Taupo est l’une des zones volcaniques les plus vastes et les plus actives au monde. Le nom de ce lieu vient certainement des années 1960, lorsque la région était très active avec un sol fumant et de nombreuses éruptions de vapeur ressemblant à la surface cratérisée de la lune. Nous marchons dans ce paysage rempli de fumerolles. Les odeurs de souffre ne sont pas trop importantes.

Nous verrons différents cratères et nous entendrons même bouillir de la boue. Nous marchons dans ces champs géothermiques avec la source de chaleur à seulement 5-10 km sous nos pieds. Ici la croûte terrestre n’est que de 15 km par endroit, la moitié de la normale. Il faut savoir que la Nouvelle-Zélande se situe sur deux plaques tectoniques : la plaque australienne et la plaque pacifique. Le mouvement entre elles peut provoquer des tremblements de terre qui à leur tour créent des fissures ou des failles dans la croûte terrestre et, également des frottements et de la chaleur qui à leur tour créent une zone de roche en fusion, le magma.

Cette nuit fût particulière, j’ai ressenti un tremblement de terre à 2h39. Était-ce mon imagination ? Au réveil, je demande à Patrice de regarder sur l’application (GeoNet) qu’il a téléchargé et effectivement il y a bien eu une secousse de 2,9 sur l’échelle de Richter. L’application nous montre bien qu’il y a plusieurs séismes par jour en Nouvelle-Zélande. Je me rends compte à quel point les simulateurs de séisme sont très juste au niveau du ressenti !

Napier

Le temps n’est toujours pas au beau fixe. Deux dépressions se succèdent dont une s’avérera être un cyclone nommé qui terminera sa route sur la Nouvelle-Zélande. Nous décidons de nous arrêter dans un premier camping à Eskdale pour aller manger dans un domaine viticole. Nous nous ferons un petit plaisir gastronomique. Un moment où nous serons bien tous les 4 et heureux de se faire plaisir ainsi.

Nous resterons deux jours dans un camping au centre de Napier, ville sur la côte Est, avec pas mal d’activités pour les enfants au vu du temps.

Nous déambulerons dans les rues art-déco de Napier. Ici tout est rétro jusqu’aux panneaux de rue et au magasin de sac.

Le 3 février 1931, un séisme de magnitude 7,9 a fait 258 morts et détruit une partie de la ville. Elle a été reconstruite dans le style de ces années. Il y même en février de chaque année un festival art-déco très réputé.

La ville offre également un musée sur la ville et d’autres thèmes, une visite guidée de la ville que vous pouvez même faire en voiture de collection, de jolis restaurants et un aquarium. Ce dernier est bien, mais n’est pas extraordinaire. Nous visiterons également l’église Waiapu Cathedral. Son architecture est très particulière, ainsi que les ornements à l’intérieur. Dans cette église, pas de Christ. Je pouvais toujours le chercher. Une croix en métal est suspendue en plein milieu. De face, elle n’est qu’une croix, mais de côté nous pouvons apercevoir son relief qui dissimule le Christ.

Il y a également une ancienne prison à découvrir que nous n’avons pas fait.

Une ville très sympathique, mais nous ne serions pas forcément attardé autant de jours. Le côté positif, car il y en a toujours, cela nous a permis de prendre le temps pour l’école, nos activités respectives et de nous reposer.

Direction Hastings

Nous prenons la route pour les environs d’Hastings. Nous avions plusieurs buts mais au vu du temps, nous ne les avons pas fait. Un peu déçu surtout de ne pas avoir fait Te Mata Peak, un imposant Mont dans une plaine offrant un très beau panorama. Nous faisons une pause à Havelock North, les enfants profiterons de la superbe aire de jeu. Les enfants apprécient toujours ces moments. Dès qu’il voit un terrain de jeux, ils se précipitent ! Un moment important pour leur développement, pour être en contact avec d’autres enfants et aussi pour améliorer leur anglais. Les enfants sont contents de ce nouveau mode de voyage. Bien sûr, ils le disent, quitter Niue a été difficile, mais ils sont heureux de ce qu’ils vivent maintenant. Nous sortons de la ville pour aller déguster une glace aux fruits locaux à Birdwoods et admirer cette jolie église transformée en galerie d’art. Un très joli domaine où déambuler.

Nous passons à Hastings, mais nous ne nous y arrêterons pas. La place pour dormir n’y est pas top et la ville n’est pas aussi charmante que Napier. Nous passons donc notre chemin et continuons sur la State Highway 2 jusqu’au village de Norsewood où nous trouvons un joli campsite pour la nuit, malheureusement le terrain est détrempé et la pluie se remet à tomber toute la nuit jusqu’au petit matin.

A l’heure où j’écris les enfants font l’école. Pas facile de les accompagner dans leur scolarité. Beaucoup de doutes s’emparent de moi. Je n’ai pas l’impression qu’ils évoluent favorablement. J’ai eu beaucoup d’écho d’autres voyageurs. Apparemment, ils apprennent beaucoup, mais je n’en ai pas l’impression. L’école est parfois vraiment compliquée. Démotivant pour nous parents et peut-être pour eux aussi. Leur motivation n’est pas vraiment présente. Se rendent-ils compte de l’opportunité qu’ils ont ? Se rendent-ils compte du nombre d’heure en classe des autres enfants de leur âge ? Pas facile de lâcher prise, de leur faire confiance. Je sais que ces ressentis ne sont certainement que temporaires, mais tout de même stressants. En ressortiront-ils grandi de cette expérience ? Comment évolueront-ils dans le futur ? Seront-ils pénalisés de ne pas avoir été dans un cursus scolaire standard ? J’espère en tout cas qu’ils auront acquis d’autres compétences qui leur permettra de compenser leur difficultés plus facilement.

Norsewood

Une fois l’école terminée, nous partons découvrir la jolie bourgade de Norsewood. Ce petit village aux airs scandinaves nous a charmé.

En 1872, des scandinaves, essentiellement norvégiens sont venus apporter leur savoir-faire dans cette région où le bush était très dense et entravait l’aménagement des routes. Les scandinaves étant des agriculteurs et bûcherons expérimentés, habitués à une vie frugales et difficiles ont su se débrouiller dans cette contrée hostile. Plusieurs musées très fournis retracent cette période.

Il y a même une réplique d’une jolie église norvégienne et des trolls.

Nous terminerons dans l’unique café déguster des mets scandinaves au doux mélange anglophone.

Nous retrouvons à Dannevirke également des airs scandinaves. Rien à voir, mais nous nous arrêterons voir un sculpteur sur bois dans sa boutique Native Woodcraft. Nous y achèterons un joli kiwi en bois et Jared se fera un plaisir de nous montrer toute la chaine de fabrication du kiwi, mais aussi des différentes choses qu’il fait. Un joli moment et une visite très concrète pour les enfants qui apprécient particulièrement ce genre de découverte.

Nous nous arrêtons à Mangatainoka Reserve pour la nuit. Un campsite gratuit au bord d’une rivière. Un super endroit avec un super jardin autour de Momo pour jouer au ballon et faire un concours de tir à l’arc. La pluie nous aura laissé tranquille quelques heures !

Les activités par temps de pluie manquent un peu. Patrice nous trouvera la visite de Middleton Model Railway .

C’est une reproduction de trains anglais en modèle réduit datant de 1950. Un vieux Monsieur a construit cela durant 44 ans et a ouvert cela au publique. Je crois qu’il prend autant de plaisir à conduire ces trains que nos enfants à les regarder.

Pointe sud

Nous profitons d’un super créneau météo pour filer au Cap Palliser. Après 32 jours, nous touchons la pointe la plus sud de l’île du Nord. Ce cap est même plus sud que certaines villes de l’île du Sud, au vu de la disposition des deux îles. La route pour s’y rendre n’est pas en très bon état.

Nous prenons conscience qu’ici quand le temps est mauvais la terre est frappée de plein fouet et la mer grignote considérablement le rivage. La route est par endroit affaissée. Montées, descentes, passage de petits gués et petites falaises donnent de l’aventure au trajet.

Un phare y est présent. Nous montons ses 250 marches pour admirer le panorama et même entrevoir l’île du Sud.

En repartant, nous nous arrêtons à plusieurs endroits observer la plus grande colonie de phoques de l’île du Nord.

Il y en a beaucoup et même des petits tétant leur mère. Nous pouvons les approcher d’assez près pour pouvoir bien les observer. Nous restons assis à observer les différentes scènes de vie. Les enfants, tout comme nous, sont subjugués par cette vision.

5 km avant le phare, se trouve le village de pêcheur Ngawi, également connu pour être un site balnéaire. Nous parquons Momo dans le campsite gratuit face à la mer. Quelle vue ! Un lieu comme on les aime. Coucher et lever de soleil, une plage pour jouer, se balader et chercher des coquillages. Nous tomberons même nez à nez avec deux phoques solitaires.

Un peu plus loin se trouve une plage avec plusieurs dizaines de bulldozers et tracteurs.

Ici, il n’y a pas de rampe d’accès à l’eau. Les pêcheurs ont trouvé l’astuce de descendre leur bateau avec des bulldozers et des remorques étudiés pour. Il est dit que c’est le village au monde avec le plus de bulldozers par nombre d’habitant.

Nous dégusterons un excellent fish and chips. D’après les échos, il est le meilleur du coin, nous étions donc obligés de le déguster. Il faut prendre le Cod Fish. Un poisson très fin.

Petit bémol, le tarif est onéreux par rapport à la portion. Nous rigolerons bien car en général les portions sont très grandes et nous avons toujours trop. Nous avons donc décidé d’en prendre que trois et bien sûr, ici, les portions étaient carrément plus petites.

Après deux nuits passées ici, nous reprenons la même route en sens inverse. Et oui la route menant au Cap Palliser est une «no exit». Nous nous arrêterons aux Pinnacles Reserve : 2 heures de randonnée au travers différents paysages. Nous commencerons par prendre le lookout via Ridge Track. Chemin nous menant jusqu’au point de vue sur les Pinnacles.

C’est une formation rocheuse formée suite à l’érosion. Un paysage assez dingue et majestueux, assez pour qu’une scène de la trilogie «le seigneur des anneaux» soit tourné ici. Depuis le point de vue, nous redescendons en faisant une boucle et arrivons sur le lookout via Stream Bed. Nous remontons le lit de la rivière durant 20 bonnes minutes en transpirant bien et nous voilà au cœur des Pinnacles. Le chemin se rétrécit de plus en plus jusqu’à se terminer en cul-de-sac. Quelle beauté géologique ! Une beauté qui au fil du temps disparaitra. En le touchant, le pinnacle est friable. Nous ne resterons pas longtemps entre ces hautes colonnes qui n’ont pas l’air très solides. Nous revenons sur nos pas pour continuer la boucle. Une ballade de toute beauté, très variée. Les enfants auront encore marché comme des champions et nous épatent de jour en jour.

Martinborough

Nous voilà dans la deuxième région viticole de l’île du Nord. Une impression un peu particulière car à l’extérieur de la ville rien ne laisse paraître que nous sommes dans une région viticole. Il n’y a pas de vignes, les grandes étendues de champs avec des moutons et des vaches ont toujours leur place. Les vignes sont très localisées proche de la ville et dans la ville. Une petite ville charmante formant un quadrillage à partir de la place principale. Puis, quelques rues avec uniquement du vignoble et des caves. Ici beaucoup de personnes se déplacent en vélo ou à pied. C’est agréable. Nous irons déguster du vin accompagné de leurs mets au Moy Hall Vineyard.

Un peu de passion dans ce voyage passionnant. Nous avons toujours apprécié le vin. Jusqu’à présent, aucune de nos escales nous a permis de vivre cette passion. Nous profitons de ce nouveau mode de voyage, de cette nouvelle dimension pour apprécier ces choses là. Ouvrir un autre monde à nos enfants et resserrer des liens qui nous unissaient Patrice et moi. Que ça fait du bien ! Peut-être moins à notre porte-monnaie, mais qu’importe on ne vit qu’une fois. Nous nous disons que nous équilibrerons le tout en dépensant moins ailleurs ou nous écourterons notre voyage de quelques jours. C’est aussi ça la vie, être libre de ses choix ! Nous sortons de ce lieu les papilles remplies de saveurs agréables. Les enfants auront goûté à tous ces mets raffinés et se sont régalés. Ces moments nous les apprécions, pouvoir partager avec nos enfants qu’est-ce que c’est beau.

Nous continuons cette merveilleuse journée ensoleillée (qu’est-ce que ça fait du bien après autant de jour de pluie et de froid) et nous nous installons dans un campsite gratuit au bord du lac Wairarapa. Ici, le chant des oiseaux et le bourdonnement des insectes accompagnent le doux vent qui balaie les herbes hautes bordant le lac.

Wellington

Nous nous rapprochons de Wellington. Avant de passer deux nuits dans le centre ville, nous nous arrêtons pour la nuit au bord de la mer à Owhiro Bay, un campsite gratuit et prisé. Un après-midi paisible où chacun vaque à ses occupations et ça fait du bien. Fin de journée avec notre terrasse vue sur la mer à observer les dauphins et le soleil décliné.

Nous décidons de passer deux nuits à Wellington, capitale de la Nouvelle-Zélande. Un parking est mis à disposition en plein centre ville. Le coût est d’environ 20 euros la journée (la nuit est gratuite). Il y a des WC et de l’eau potable. Pas ou peu de place où poser vos chaises selon où vous êtes dans le parking, en contre-partie, vous êtes en plein centre-ville et près de toutes les activités.

Nous monterons au Mont Victoria prendre de la hauteur sur la capitale. Nous nous promènerons sur le bord de mer avec certaines anciennes installations, des restaurants, une plage, de petits hangars à bateau et d’anciens bâtiments.

Nous prendrons les rues intérieures pour découvrir les bâtiments du parlement, l’ancienne église Saint-Paul tout en bois et magnifique, et à l’opposé la nouvelle église Saint-Paul avec à mon sens aucun charme.

Nous flânerons entre les buildings modernes et anciennes bâtisses.

Pour terminer au jardin botanique en y montant avec le fameux «cable car» (funiculaire) et en profitant de son petit musée une fois en haut.

Nous profiterons d’être citadin pour nous faire une nouvelle coupe de cheveux et assouvir quelques envies culinaires comme manger libanais et vietnamiens, et au passage faire une dégustation de bières artisanales et locales. Un incontournable à ne pas manquer ici à Wellington.

Il est temps de prendre le ferry destination… et bien l’île du Sud ;-).